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Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #63322 dans eBooks
- Publié le: 2017-05-24
- Sorti le: 2017-05-24
- Format: Ebook Kindle
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
64 internautes sur 64 ont trouvé ce commentaire utile.Sur la nouvelle traduction
Par Coke_Babies
Je ne viens pas ajouter un énième commentaire sur les frères karamazov, ainsi que l'ont déjà souligné d'autres critiques, c'est l'un des romans les plus fabuleux, les plus brillants, les plus marquants de toute la littérature.Ayant lu le livre dans deux traductions différentes, je laisse quelques mots sur celle d'André Markovicz. Pour être honnête, j'ai eu deux impressions distinctes sur cette traduction : arrivé au milieu du premier tome, je me rends compte que je n'ai pas suivi toute l'histoire. Je m'énerve et je repars en arrière pour relire deux ou trois chapitres. Les choses sont plus claires, mais faut s'accrocher. Je ne parle pas russe, je compare donc deux traductions françaises entre elles : je n'ai pas le souvenir d'avoir eu des soucis de compréhension la première fois (c'était dans la collection folio, je ne sais plus quels sont les traducteurs), mais là des passages entiers devenaient opaques, obscurs, imposant des relectures pour s'assurer que l'on suit bien les personnages et leur histoire. Bref, mon premier avis sur cette nouvelle traduction fut négatif : déçu de ne pas bien comprendre, déçu d'avoir opté pour la collection Babel pour ce roman (collection que j'apprécie beaucoup par ailleurs), déçu de ne suivre l'intrigue qu'au prix d'efforts qui me gâchaient un peu le plaisir.Ainsi que quelqu'un l'a dit, il y a quelque chose de célinien dans cette nouvelle traduction, c'est vrai que le rythme est plein d'accoups, de brisures, de temps morts et de cascades. Je ne sais pas si Dostoievski en russe ressemble à ça, mais je suis certain qu'il y a dans cette traduction de Markovicz une chose que les autres n'ont pas.Dépassées les difficultés du départ, la lecture vaut le coup, elle apporte quelque chose de nouveau, on commence à sentir LE style. Il faut s'accrocher, du moins pour moi ce fut le cas, aussi je ne conseillerais pas cette traduction si la pratique de la lecture n'est pas courante pour vous. Elle n'est vraiment pas facile dans le cas des frères Karamazov : tout va bien, et d'un coup cette syntaxe bousculée, étrange à vous faire douter que la phrase soit bien française (ou bien n'était-elle pas russe à l'origine ??). Mais au fur et à mesure vous prend cette impression selon laquelle c'est bien ça, c'est Dosteievski : une telle urgence à écrire, on dirait que l'histoire se tire d'elle-même et va plus vite que le narrateur, et la forme en pâtit par moment. Que le narrateur n'a pas le temps de soigner cette forme parce qu'il faut tout nous dire, vite. Aux antipodes d'un Flaubert, par exemple.Autre chose notable, il me semble que certains termes sont traduits de façon discutable : je n'ai plus les exemples précis en tête, mais dans des discussions censées avoir lieu au XIXème, l'irruption de certains termes argotiques très modernes est "étrange". Je suis sûr que d'autres y verrait là une bonne idée tendant à rapprocher l'oeuvre de nous...Bref, si vous êtes un lecteur assidu, prêt à vous accrocher, et si vous voulez "flairer" du Dosteievski au plus près, je vous conseille cette traduction qui me semble vraiment apporter quelque chose de nouveau. Si vous voulez plonger dans les frères Karamazov pour le plaisir de l'histoire, en vous prenant moins la tête, optez pour une autre traduction. En espérant que ces quelques mots peuvent aider.
14 internautes sur 15 ont trouvé ce commentaire utile.Du pur Dostoïevski
Par Johan Rivalland
L'Eté. Moment idéal pour consacrer du temps à cette lecture. Car 584 pages, rien que pour le premier tome dans cette édition, il en fallait du temps ! Et il me restera à me procurer le tome 2, encore plus gros (700 pages). Pas une mince affaire, a priori.Mais, en réalité, pris par la lecture, si l'on aime, cela n'est pas si difficile. Reste à déterminer si l'on aime à lire du Dostoïevski. Pas si évident. Le style dostoïevskien (j'ignore si l'on dit ainsi) est, certes, très particulier ; mais nous y reviendrons...Les frères Karamazov est un roman d'une grande richesse. A la fois évocation, une nouvelle fois, de l'âme russe, de la société de l'époque tsariste, mais aussi et surtout plus encore questionnement de fond sur la nature humaine, sur le sens de la vie, la religion, ainsi qu'une réflexion intéressante sur ce qu'est la véritable liberté, à l'opposé des artifices habituels.Derrière l'intrigue centrale, histoire d'un parricide dont on comprend bien la lente préparation, au regard du caractère méprisable et repoussant de cet horrible père qui n'a de cette dénomination que le titre tant il n'a jamais su en assumer les devoirs, bien au contraire, on assiste à une fine analyse de la complexité liée à la nature humaine. Chaque personnage est disséqué dans ce qu'il a de plus profond enfoui en lui, étudié dans ses plus étroites contradictions, hésitations, affections diverses, révélant admirablement les fragilités humaines. Et sans que l'on sombre dans une quelconque caricature manichéenne, chaque étant dépeint dans ses moindres qualités ou défauts.Mais pas seulement.Les frères Karamazov est aussi et surtout l'occasion de passer en revue les questions les plus intimes qui se posent à l'être humain, telles celles-ci : Dieu peut-il exister ? Si tel est le cas, quel est le sens de tout ce à quoi on peut assister en ce monde ? Quelle en est la signification profonde ? Athéisme et vision croyante s'opposent, sans simplifications abusives et sans prise de parti évidente, laissant chacun à ses doutes ou à ses réflexions personnelles.Le tout sous forme de digressions multiples, quitte à égarer certains lecteurs peu habitués au style dostoïevskien. Et avec toute l'âme tourmentée qui caractérise son auteur.La lecture m'a beaucoup fait penser à L'Idiot, par sa longueur, ses digressions, mais aussi par le caractère du personnage central d'Aliocha, dont j'étais tenté de me sentir proche, même si finalement on se retrouve un peu dans chacun des personnages dépeints. J'ai retrouvé aussi, par moments, des analogies avec l'intrigue de l'excellent Crime et châtiment, même si ce dernier m'a paru plus fluide.Reste la question de la traduction.J'ai hésité un moment sur le choix de l'édition. 915 pages chez Livre de poche, 728 chez folio. Ecrit en assez petit et très concentré. Plus de 1200 pages ici, pour les deux tomes, mais avec une impression de plus aéré et un papier légèrement jaune pâle qui change un peu... C'est le choix que j'ai fait.J'ai été très impressionné de découvrir que le traducteur, André Markowicz, mettait avec ce roman un terme à dix années de traduction de l'ensemble de l'oeuvre du grand écrivain russe (qu'hommage lui en soit rendu). Mais la traduction est très distinctive de celle d'autres traducteurs (lire notamment le très intéressant commentaire de "coke babies" sur cette page, à ce sujet). Il semble qu'elle respecte davantage l'authenticité du style, en collant plus précisément au texte russe. Mais au prix d'une difficulté éventuelle de lecture.Pour ma part, un peu surpris au début, quoique pas vraiment étonné après avoir déjà lu du Dostoïevski, je me suis très vite acclimaté et y vois une pleine authenticité à la fois dans le caractère tourmenté de l'auteur, ainsi que dans l'évocation des personnages tantôt très ruraux, tantôt spontanés, voire ivres, ou encore mystiques (le starets Zossima). Cette traduction me convient donc.Et maintenant, après un petit intermède de quelques jours (je suis lancé depuis peu dans un autre roman), place à la lecture de l'imposant tome 2. Il me faudra quelques temps avant d'y venir...
17 internautes sur 19 ont trouvé ce commentaire utile.indispensable
Par Sam
Un livre magnifique.La traduction de Markowicz nous rend à notre nuit, casse le Dostoïevski trop poli, trop sage, trop "français" des traductions précédentes. Nous voici maintenant plongé dans un flux quasi célinien, traversé par des bourrasques, des lenteurs, des maladresses saisissantes."Les frères Karamazov" concentre tout l'art du maître : la mystique bouleversante (la fameuse phrase d'Aliocha, qui ne veut pas du salut du monde s'il passe par la mort d'un enfant), la révolte (Dimitri, et Ivan : si Dieu n'existe pas, tout est permis), l'hallucination pure et simple, le surnaturel rendu naturel : les rencontres de Ivan et du Diable, et un sens du récit inégalé jusqu'à ce jour, qui tient le lecteur littéralement rivé au livre jusqu'à la dernière ligne.
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