Wednesday, April 12, 2017

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Détails sur le produit

  • Rang parmi les ventes : #68278 dans eBooks
  • Publié le: 2017-05-05
  • Sorti le: 2017-05-05
  • Format: Ebook Kindle

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

6 internautes sur 6 ont trouvé ce commentaire utile.
3écriture subtile, trop monotone à mon goût
Par S. Isabelle
J'ai apprécié la richesse de la langue, qui est remarquable dans ce roman.Cependant, pour moi, elle n'a pas suffit à compenser la monotonie (voulue par l'auteure) et l'ennui qui se dégage de phrases longues, parfois juxtaposées alors qu'il peut s'écouler plusieurs heures entre les différents lieux/moments.J'ai finalement un arrière goût d'ouvrage plus à l'état de manuscrit, portant en lui une trame attirante certes, mais tout de même non achevé.J'avoue donc que la notation que je porte relève plus de mon goût personnel : je ne recommanderais pas ce livre, même si j'ai été curieuse de le lire.

3 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile.
5VERTIGES
Par PHIL007
Quand j'ai ouvert ce livre, je ne connaissais rien de cette romancière américaine. La préface de cette édition, écrite par Bernard Cohen, retrace pour nous l'histoire d'une femme "déchirée entre son statut social très conventionnel et la pulsion d'écrire", qui veut "être publiée mais rester cachée" et publie en 1956, anonymement, Madame Solario, une trentaine d'années après l'avoir écrit.L'action se passe dans une région d'Italie que connaît bien Gladys Huntington, les bords du lac de Côme. Vers 1900, de riches Européens et Américains prennent là des vacances, avec des divertissements de fêtes galantes. La nature est magnifiquement évoquée, l'analyse psychologique est fine : "Bernard éprouvait une impression d'attente qu'il n'arrivait pas à définir, mais qui ressemblait au bonheur". Parmi les pensionnaires de l'hôtel, des groupe ou des idylles se forment, ou se défont, des individualités se distinguent comme Bernard, jeune étudiant anglais, ou le comte Kovanski, prototype de l'aristocrate russe de l'époque. La figure de Madame Solario, très belle et mystérieuse, domine cette vie communautaire d'apparence gaie, de légèreté, de bienséance heureuse.Cette première partie peut paraître avoir un rythme assez lent, où rien de particulier ne se passe; mais il fallait créer une atmosphère, un mode de vie et cela ne se fait pas en deux pages. Cette vie est par ailleurs répétitive, monotone car, au fond, singulièrement vide de sens profond. Ainsi est subtilement préparé le coup de théâtre qui va donner naissance à un crescendo dramatique.On a appris par des bavardages mondains que Madame Solario a connu à 16 ans un drame familial :"Son beau-père était amoureux d'elle.- Non, vraiment ? Que s'est-il passé ?- Ce son des choses qui ne se demandent pas"Le frère de Madame Solario, Eugène Harden, avait à l'époque aggravé le scandale en tirant sur le beau-père qu'il blessa avant d'être expédié, par ses proches, à l'autre bout du monde.Or, un soir, Eugène Harden, arrive à l'improviste à l'hôtel. Sa venue est un évènement totalement inattendu même par Madame Solario qui va le présenter laconiquement aux autres ainsi : "je 'ai pas revu mon frère depuis près de 12 ans".Ce bouleversement inattendu va amener, dans la 2ème partie du roman, un net changement esthétique. Désormais, c'est le tête à tête, le dialogue du frère et de la sœur qui domine.Il s'agit d'étranges retrouvailles qu'il ne nous appartient pas de trop dévoiler. On a parfois l'impression de ne pas avancer beaucoup, ni très précisément, dans la connaissance de Madame Solario est d'Eugène. Mais on est saisi par des lignes de force : Le poids écrasant d'un passé, la marque indélébile d'une cassure profonde, le poids insupportable, chez Eugène surtout, des humiliations, la nécessité pour lui de trouver des expédients lucratifs afin de survivre dans ce milieu aisé dont il ne veut plus, dont il ne peut plus se séparer. Madame Rosario pose avec acuité le problème de son identité profonde qui ne se dévoile pas vraiment. Que pense-t-elle, que veut-elle vraiment dire, et faire ? On ne le comprend pas avec netteté, l'auteur ne le dit pas avec précision.Insuffisance de l'analyse ? Non : L'auteur a pourtant été psychologue par ailleurs. La traduction est-elle infidèle ? Non : Nous avons la chance de lire une traduction française à laquelle l'auteur a participé.Il est vrai que Madame Solario ne s'exprime pas nettement, ne précise pas ce qu'elle ressent; ni elle ni même l'auteur ne semblent le savoir avec exactitude. L'auteur, me semble-t-il, croit en l'incommunicabilité des êtres profonds.Il faut avoir en mémoire que les convenances de l'époque ne permettaient pas à une femme de préciser certains de la vie des "gémeaux" (c'est ainsi que les pensionnaires appelaient Madame Solario et son frère Eugène). Nous entrevoyons une fraternité incestueuse, voulue par Eugène, assumée ou consentie par Madame Solario. Nous avons des indices, non des analyses. On peut citer le bal où le frère et la sœur dansent beaucoup ensemble, et évoquer une de leurs valses :"L'accord de ces deux êtres était si parfait qu'on avait le sentiment de commettre une indiscrétion en les regardant".Le lecteur comprend à demi-mot, interpellé par un mystère dont l'évocation me semble plus puissante que la clarté d'une analyse réaliste.Madame Solario va prendre tout à coup une initiative. Elle veut s'éloigner, secrètement, et demande à Bernard son aide pour voyager. Commence alors ce que je considère comme la plus belle partie du roman : leur fuite, en tout bien tout honneur, loin de l'hôtel, dans une atmosphère d'angoisse mais très romanesque. Pour Bernard, qui aime secrètement Madame Solario, c'est une étonnante "éducation sentimentale" : il lui arrive de regarder avec elle un monument rien que pour avoir cinq minutes de plus en sa présence. Pour elle, c'est une quête de ce qui est peut-être hors de sa portée : La possibilité entrevue d'une indépendance, la délivrance. Mais des évènements que je ne préciserai pas vont survenir et arrêter cette quête."Son calme (...) son air de ne pas écouter ce qui se disait autour d'elle révélait une absence : l'absence de cette préoccupation et de cette angoisse que [Bernard] avait si souvent devinées pendant leur voyage, l'absence de sa détermination. A un moment précis, il en acquit la certitude, elle devait avoir renoncé à poursuivre sa quête".Il y aura un drame mais le lecteur connaîtra la même économie de moyens que l'auteur. A la fin, on sait très peu de choses sur le devenir des personnages. J'aime ces fins ouvertes : Voltaire ne disait-il pas que les meilleurs romans sont ceux dont le lecteur fait la moitié ? C'est le cas ici : il y a beaucoup de choses à imaginer.Un lecteur même bienveillant pourrait avoir des reproches à faire à ce roman. Mais toute notation est subjective et j'ai été tellement fasciné par cette œuvre que je n'hésite pas un instant à lui accorder 5*.

8 internautes sur 9 ont trouvé ce commentaire utile.
3Soleil noir
Par jay
Dans le cadre privilégié d'un hôtel au bord du lac de Côme, « Madame Solario » est comme la peinture impressionniste du mode de vie oisif de la société cosmopolite, aristocratique et fortunée du début du XX siècle. Les descriptions dépeignent avec minutie les lieux, les scènes de la vie quotidienne (sorties en canot, dîners, parties de carte, bals) et les petites intrigues (clans, hiérarchies et rumeurs) de ce milieu. La présence de Madame Solario, être solaire par définition, attire le regard par sa beauté, son élégance et sa grâce. Pourtant, elle a aussi sa part d'ombre. Les bruits sur son passé diffusent un parfum de scandale mais c'est l'arrivée inopinée de son frère, Eugène Harden, qui risque d'être le catalyseur de son explosion.Le roman se divise en trois parties. La deuxième partie se concentre sur les points de vue du frère et de la soeur. Intrigant aux intentions troubles, Eugène entraîne avec lui sa soeur. Les première et troisième parties constituent le prologue et l'épilogue de la deuxième partie. L'auteur a choisi pour ces 2 parties le point de vue assez extérieur de Bernard Middleton. Si ce jeune Anglais est sous le charme de Madame Solario (cela n'a rien d'original chez la gent masculine de l'hôtel), il sera plutôt un spectateur privilégié qu'un acteur dans cette histoire. Il sera dans ces deux parties témoin du dépit amoureux, comme si l'entrée en matière annonçait déjà le dénouement tragique. Mais, même dans la deuxième partie, le narrateur ne sera jamais omniscient. Au détail extrême de la description des situations s'opposent paradoxalement des intimités dévoilées qu'à demi-mots et des allusions plus ou moins claires.A propos de détail, je trouve ce passage très juste : « Ils n'avaient aucune importance, ils ne représentaient rien, ils étaient le détail qui, dans les moments où l'esprit est totalement absorbé par une intense préoccupation, reste parfois dans l'oeil et dans le souvenir, pendant des années. » A propos de la relation du frère et de la soeur et de sa part de mystère, je citerai ces paroles d'Eugène : « Je suis prêt à croire qu'en ce moment même nous sommes les personnages d'une histoire dans laquelle nous verrions nos deux ombres quitter le sol, se dresser, se mettre à marcher, puis s'éloigner ensemble pour aller se tenir contre le mur (il désigna l'endroit) et nous resterions assis à les regarder, là, en face, et nous les verrions s'embrasser. » Bien sûr on imaginerait assez mal un langage trop direct dans cette atmosphère feutrée mais cette prédominance de l'implicite est très signifiante dans le roman. Laisser entendre plutôt que dire rend les situations plus sulfureuses encore. D'un côté, cela donne au lecteur la satisfaction d'être initié, d'avoir vent du mystère. D'un autre côté, c'est également excessivement frustrant pour lui car des éléments essentiels ne lui seront jamais clairement révélés. Par exemple, les motivations des personnages restent dans la brume. Madame Solario adhère-t-elle aux desseins de son frère ou le suit-elle comme une marionnette ? Lorsque le point de vue est laissé à Middleton, certaines scènes sont escamotées pour être relatées de manière indirecte. Par exemple, il n'assiste pas à la consultation du médecin pour Eugène et n'en saura donc que ce que le médecin et le directeur de l'hôtel en laisseront transparaître.La lecture de « Madame Solario » me laisse sur des sentiments partagés. Malgré des qualités littéraires incontestables (élégance du style, finesse d'analyse, univers bien retranscrit...), j'avoue que toutes ces circonvolutions autour de micro-évènements m'ont parfois fait bailler d'ennui. L'extrême lenteur de ces pages liée au détail du trait et à l'oisiveté de ces êtres tient de l'exploit stylistique mais m'a un peu lassée. Et le dénouement, qui laisse tant d'inconnues après toutes ces pages, m'a un peu frustrée.

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